Témoignages Témoignage : Logivelay, partenaire Ytong Inside l’affirme, « avec Xella, nous avons la même volonté d’avancer ensemble ! »

Au Puy-en-Velay (43), Logivelay est un constructeur de maison un peu différent des autres. Cette coopérative HLM, créée en 1998, est adhérente de l’association Maison d’En France. Elle construit des maisons individuelles pour de l’accession sociale à la propriété sans pour autant jamais rogner sur la qualité. En matière thermique, notamment, son dirigeant, Nicolas Faure, a souhaité proposer les meilleures performances et il a choisi, pour une large majorité de ses projets, les solutions constructives en béton cellulaire Ytong. Un partenariat qui dure depuis 20 ans. Rencontre avec le directeur de Logivelay.

Quelle est aujourd’hui l’activité de Logivelay ?

Nicolas Faure : En tant que coopérative HLM, nous proposons à nos clients, candidats à l’accession à la propriété, des maisons de type intermédiaire ou premium avec un panier moyen aux alentours des 126 000 euros H.T. Nous réalisons un certain nombre de maisons sur-mesure, des maisons assez importantes, très contemporaines. Nous essayons de répondre à un panel de demandes assez larges. Depuis 2 ou 3 ans, nous remarquons que la tendance est aux maisons de plain-pied. Cela doit représenter environ 70% de nos ventes, ce qui est assez inhabituel sur le département de la Haute-Loire. 

Nouus recherchons la qualité au meilleur prix

Quelle est votre philosophie en matière de qualité ?

Nicolas Faure : Nous recherchons la qualité au meilleur prix. Cela a toujours été notre volonté et cela s’est accéléré depuis que j’ai pris la tête de l’entreprise en 2017. Je souhaite vraiment aller le plus possible vers la qualité. Bien sûr en essayant de maîtriser les coûts et ce n’est pas toujours le plus facile. Mais nous ne cherchons pas à être le moins cher. Il est évident que lorsqu’on tire les prix, c’est au détriment de la qualité. Dans notre région, il y a des éléments sur lesquels il ne faut pas jouer. Par exemple, nous sommes en zone argileuse. Il ne faut donc pas négliger les études de sol et mettre le paquet au niveau du gros-œuvre. 

Exemple de réalisation en béton cellulaire signée Logivelay

Comment a commencé l’histoire de Logivelay et du béton cellulaire ?

Nicolas Faure : La première maison en béton cellulaire a été construite en 2010. A l’époque, nous avons voulu anticiper et construire les premières maisons BBC (Bâtiment Basse Consommation) avec la RT 2005. Nous nous testions pour anticiper la RT 2012 et avions alors plusieurs possibilités. Le choix a été d’aller à contre-courant. C’est-à-dire de délaisser la brique, préférée à l’époque par nos concurrents, pour opter pour le béton cellulaire qui nous paraissait le matériau le plus adapté. Le produit avait, selon moi, le meilleur rapport qualité / prix / performances par rapport à notre zone de construction et notre altitude moyenne relativement haute. Le climat a évidemment été un élément décisif pour le choix de ce matériau. Nous ne faisons quasiment aucune maison en-dessous de 800 mètres.

Aujourd'hui, nous atteignons 100% de nos ventes en béton cellulaire !

Aujourd’hui, quelle est la proportion de maisons en béton cellulaire chez Logivelay ?

Nicolas Faure : Depuis que je dirige l’entreprise, la proportion de maisons en blocs de la marque Ytong s’est accélérée. Il y a deux ans, nous étions autour de 60%, aujourd’hui nous atteignons quasiment 100% de nos ventes en béton cellulaire ! Pour nous, bien sûr, la volonté est de tendre vers ce modèle. Et grâce au groupe Xella, nous proposons des tarifs très intéressants. Il n’y a pas de gros écarts et les gens sautent le pas.

Justement quels sont vos arguments pour présenter le béton cellulaire à vos clients?

Nicolas Faure : Évidemment, nous parlons d’abord des performances thermiques du matériau. Nous leur présentons le gain de surface grâce à des doublages réduits par rapport à du bloc béton. Et nous expliquons à nos clients que nous obtenons des performances bien supérieures à la plus performante des briques. Nous pouvons aussi avancer que, par rapport au label E+C-, nous obtenons des résultats très satisfaisants, notamment au niveau du carbone. Ce sont des éléments auxquels ils sont sensibles. 

Les entreprises qui nous accompagnent sont convaincues

Quels peuvent être les freins par rapport au choix du béton cellulaire ?

Nicolas Faure : C’est extrêmement rare, mais certaines personnes peuvent exprimer des doutes par rapport à la solidité du produit dans le temps. C’est notre rôle de combattre cette idée reçue et les rassurer sur la pérennité du mode constructif qui est réel. Et on y parvient d’ailleurs sans grande difficulté. Et à force de faire des maisons en béton cellulaire, on arrive à un volume de constructions assez important avec des résultats qui parlent d’eux-mêmes : 14 maisons en groupé en cours en 2019 et 60 chantiers de maisons individuelles !

Les performances thermiques du béton cellulaire sont tout à fait adaptées au climat de la Haute-Loire

Concernant la mise en œuvre du béton cellulaire, comment se passent les chantiers ?

Nicolas Faure : C’est comme tout, il y a un temps d’adaptation et de maîtrise de ce nouveau mode. Mais maintenant, cela fait quand même quelques années que nous posons du béton cellulaire et les entreprises qui nous accompagnent sont convaincues. Les retours sont excellents.

Nous avons bénéficié d’un accompagnement à la fois technique, financier et d’assistance

Pour arriver à ces très bons résultats, comment êtes-vous accompagnés par les équipes techniques de Xella ?

Nicolas Faure : Il faut d’abord dire que nous entretenons de très bonnes relations avec Xella. Nous avons été parfaitement accompagnés par votre ingénieur commercial. Il nous a beaucoup aidé à orienter l’activité dans le bon sens. Nous avons bénéficié d’un accompagnement à la fois technique, financier et d’assistance… Cela a été une période très intéressante et cela continue. Je suis maintenant en relation avec le responsable au niveau national, Grégory Gnidach, avec lequel ça se passe également très bien. Nous sommes dans une belle dynamique. Nous allons faire des formations de plus en plus importantes avec les commerciaux et les conducteurs de travaux ainsi qu’avec les entreprises en charge de la pose. C’est un vrai partenariat dans les deux sens. Nous avons la même volonté d’avancer ensemble.

Parlez-nous des projets communs avec Xella…

Nicolas Faure : Nous avons d’abord prévu une visite de l’usine Xella de Saint-Savin en octobre afin que chacun au sein de l’entreprise ait une connaissance encore accrue du matériau. Et nous avons différents projets, comme une communication commune sur une maison E+C- : la première du département de Haute-Loire. Il s’agit comme toujours de mettre en avant notre travail sur ces questions thermiques et d’être toujours à l’avant-garde.

Pour finir, quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui souhaite faire construire ?

Nicolas Faure : Je lui dirais d’abord de choisir un partenaire fiable, avec les meilleurs retours possibles, et bénéficiant, élément important, de la norme NF. Cela permet déjà de faire une première sélection. Il est aussi essentiel de vérifier qu’il propose bien un contrat de construction de maison individuelle avec toutes les garanties nécessaires. Enfin, j’aurais tendance à dire qu’il faut, autant que possible, mesurer le niveau de performances thermiques proposé en observant les consommations moyennes des maisons du constructeur…

En quelques années, Logivelay a fait évoluer son offre pour ne réaliser quasiment plus que des maisons en béton cellulaire. Convaincu par les atouts thermique du matériau mais aussi par son intérêt économique, le constructeur le propose désormais de façon systématique à ses clients. Et les propriétaires des maisons Logivelay sont conquis. Alors comme eux, n’hésitez plus et faites appel à l’un de nos partenaires Ytong Inside pour faire construire votre maison en béton cellulaire.