Fabrice Chaperon : C’était il y a 6 ans. En 2014, avec mon épouse et mes deux enfants, nous étions alors déjà propriétaires d’une maison en parpaings. Nous nous sommes lancés dans la construction d’une maison de 105 m² sur un terrain de 1000 m², de plain-pied avec une terrasse couverte. Comme je m’intéresse beaucoup à l’aspect technique, je m’étais renseigné sur les matériaux les plus isolants et j’avais lu que le béton cellulaire présentait de très belles performances énergétiques.
Le béton cellulaire, un matériau prisé pour ses vertus isolantes
Fabrice Chaperon : Oui j’ai choisi Vernin Ingénierie par recommandation. J’avais sondé plusieurs personnes et je connaissais notamment quelqu’un qui avait fait travailler ce constructeur et pour qui cela s’était très bien passé. Il était en place depuis plusieurs années, il bénéficiait d’une très bonne réputation. J’appréciais le fait qu’il ne fasse pas énormément de maisons, qu’il soit à mi-chemin entre l’artisanal et la grosse structure. J’ai tout de suite compris que mon interlocuteur, Gaëtan Vernin, était quelqu’un qui répondait au téléphone, et qui, dès qu’il y avait une difficulté, essayait de la résoudre.
Tant qu’à faire les choses bien, autant aller jusqu’au bout avec ce qu'il y a de plus performant !
Fabrice Chaperon : En discutant avec Gaëtan Vernin et en faisant aussi des recherches de mon côté, j’ai vu qu’il y avait plusieurs types d’épaisseurs de blocs. J’ai alors étudié avec lui les coefficients d’isolation. Et je me suis rendu compte très vite que le béton cellulaire était très efficace en la matière. C’est donc l’argument de la performance thermique qui a primé. Je me suis aussi dit qu’au bout de quelques années, la laine de verre qu’on allait mettre contre, que ce soit avec du béton cellulaire ou un autre matériau, allait s’affaisser. Mais avec cette maçonnerie, je savais que j’aurais toujours un coefficient correct au niveau des murs. On sait aussi qu’avec ce matériau, on aura une maison plus saine qui peut garder le frais quand il fait chaud, et vice versa, qui gardera le chaud quand il fait froid.
Fabrice Chaperon : J’ai choisi la solution Ytong Énergie 25. Je me suis dit que tant qu’à faire les choses bien, autant aller jusqu’au bout, avec ce qu’il y a de plus performant. Entre les conseils de Gaëtan Vernin et mes recherches personnelles, je me suis dit que c’était le bon choix pour avoir à la fois un bon coefficient énergétique et des dépenses en baisse. Nous avons ainsi obtenu un R de 4,5 m². K/W au niveau de nos murs, ce qui est un très bon coefficient de résistance thermique.
En deux mois, la maçonnerie de la maison était faite
Fabrice Chaperon : C’était beaucoup d’écoute et de compréhension de nos besoins. Une fois que nous étions d’accord sur les plans et la physionomie de la maison, Gaëtan Vernin est quelqu’un qui décrit bien chacune des étapes de la construction. Et ce que j’ai bien aimé, c’est que lorsqu’il me disait que la maison allait commencer la première semaine de juillet, c’était le cas. Tout ce qui est annoncé se passe comme prévu. Le timing est respecté jusqu’à la livraison de la maison.
Fabrice Chaperon : C’est allé relativement vite. En deux mois, la maçonnerie était faite. Avec le béton cellulaire, la pose va très vite. Les maçons arrivaient à monter 4 ou 5 rangs en une seule journée. Si c’était à refaire, je n’hésiterais pas, je ferais exactement la même chose. J’allais tous les jours sur le chantier. Le maçon, M. Marin, est quelqu’un qui travaille extrêmement bien. Il n’y a vraiment eu aucune difficulté particulière ni sur ce chantier ni sur le suivant.
Je peux dire aux futurs locataires qu’ils vont avoir peu de dépenses énergétiques
Fabrice Chaperon : Oui, il s’agit comme pour ma maison familiale d’une maison de plain-pied sur la commune de Poncins. C’est une maison de 100 m² là encore en Ytong Énergie 25. Avec cette maison prévue pour de l’investissement locatif, notre objectif est de faire en sorte qu’elle soit la plus fonctionnelle possible pour plaire au plus grand nombre. Je me suis dit que le béton cellulaire était un argument pour la location. Je peux ainsi dire aux futurs locataires qu’ils vont avoir quelque chose de peu gourmand en matière de dépenses énergétiques.
Fabrice Chaperon : Une pompe à chaleur avec un système en aérothermie, ce qui est largement suffisant. J’éteins la PAC en avril et je ne la rallume qu’en octobre. Même avec des hivers très froids, il n’y a aucun problème. Grâce à la qualité des murs, on arrive à garder une température constante. Mes voisins rallument souvent leur chaudière 15 jours ou 3 semaines avant nous ! Et lorsque nous avons des périodes de canicule, nous parvenons très bien à garder le frais. Souvent, quand les gens viennent à la maison, ils me disent qu’il fait frais et qu’ils se sentent bien. Il y a un vrai ressenti de confort.
Par rapport à notre maison précédente, on doit économiser environ 400 euros par an.
Fabrice Chaperon : Par rapport à notre maison précédente, si on regarde notre facture énergétique, je pense qu’on doit gagner environ 400 euros par an. C’est une belle économie. J’aime bien me projeter sur le long terme. Même s’il y a un surcoût au moment de la construction, je me dis que les murs d’une maison sont irremplaçables, alors autant installer de la qualité et être tranquille sur le long terme. Aujourd’hui, cet investissement est largement rentabilisé.
Fabrice Chaperon : J’ai été très agréablement surpris par les performances acoustiques de ce matériau. Il est vrai que je m’étais beaucoup intéressé aux performances thermiques du béton cellulaire, mais assez peu à l’insonorisation. Et c’est vraiment quelque chose qui nous a marqués avec ma compagne. On entend effectivement très peu les bruits extérieurs, c’est là encore très agréable.
Fabrice Chaperon : Soyez curieux ! Intéressez-vous à la technique et aux performances énergétiques des matériaux. C’est étonnant de voir que la majorité des gens n’ont pas encore cette démarche de se demander ce qui isole le mieux entre le parpaing, la brique ou le béton cellulaire. Ils regardent encore trop ce qui va leur coûter le moins cher au moment de la construction. Or il faut réaliser qu’une maison, on y reste longtemps et il faut vraiment se dire qu’il existe des solutions qui sortent un peu des sentiers battus, mais offrent des bénéfices sans égal. Moi j’ai fait construire deux maisons en solutions constructives Ytong, et si j’en avais une autre à faire, ce serait encore en béton cellulaire !
Le béton cellulaire Ytong est devenu une évidence pour la famille Chaperon, si bien qu'elle n'envisagerait plus de construire avec un autre matériau que celui-ci. Un enthousiasme partagé par de nombreux autres propriétaires de maisons construites avec des murs béton cellulaire, qui sont ravis du confort thermique, de la durabilité de leur bien et des économies d'énergies réalisées.